Tony Havart est né un jour de mai sous Pompidou au bord de l’Aa. Tout le poussait donc à devenir dépressif et/ou cruciverbiste. Et puis un jour il est né une deuxième fois quand les histoires lui sont tombées dessus : alors il s’est mis à raconter assis, debout, couché tout en essayant de trouver sa voie et sa voix, de construire patiemment et imprudemment une parole juste, de trouver l’endroit où les fils se touchent, histoire de voir si la lumière sera ou si ça va disjoncter !